lundi, avril 30, 2007

160 - R.A.S.

Ben oui, y'a des jours comme ça, on voit pas bien ce qu'on pourrait dire. Quoiqu'en me creusant pas trop la tête, je devrais bien trouver une ou deux c.......s à sortir. Ça fait tellement longtemps que je suis sage ! Je peux avoir un sucre d'orge ?
Petits futés que vous êtes, vous n'êtes pas sans avoir remarqué que le lien vers le blog de Buel fonctionne. Enfin.
Cela est dû à mon impressionnante sagacité, doublée d'un sens inné de la connaissance informatique, assaisonnée d'une humilité proprement renversante........Ben oui, on peut être renversé de bien des façons. C'est ainsi.
CET HOMME MENT !!
Mouais, oui.....enfin.....bof.......pas vraiment. Disons que j'ai pris quelques libertés avec la juste réalité. Après tout, dans la vie, tout n'est-il pas affaire d'interprétation ? Je veux dire, vous êtes debout sur un trottoir, et de l'autre côté de la rue, vous apercevez deux personnes (un homme et une femme, vous dites-vous sans en être assuré : l'individu vêtu d'une robe a la tête rasée, tandis que le camioneur à Marcel et cheveux longs a les ongles des pieds rouges et ceux-ci sanglés dans de ravissants nu-pieds Balanciaga d'une hauteur approximative de 8 centimètres. Quid ?) Bon, enfin bref, ne nous laissons pas divertir. Donc, vous voyez ces deux énergumènes, car ainsi avez-vous résolu de les nommer, à force gestes, mains levées, échevelés, eructant de rage dans un en-avant menaçant que sanctionnerait n'importe quel arbitre de rugby, la lippe écumante, l'oeil noir, rouge, brillant de fiévre, le coeur débordant de fiel, vous imaginez, plus que vous ne les entendez, ces noms abjects, ces suppositions sur la digne filiation des sujets, ces insultes inscrites au fronton de l'incivilité et de l'anticommunisme primaire, quand dans un éclat et dans une main, fulgurant éclair d'acier, croc improbable d'une mâchoire absente, vous voyez apparaître un couteau, un poignard, un surin dans cette main potentiellement assassine. Eh bien, hônnetement, qu'est-ce qui vous interdit de penser que ces deux sujets font autre chose que de demander l'heure ? Hein ? Ah, vous voyez, je vous disais bien : tout n'est qu'interprétation et nous sommes soumis au jugement souvent hâtif de nos sens et de nos neurones. Donc, non, je n'ai pas menti, simplement je me suis rêvé, un instant, à la place de Cédric, et j'ai supputé que j'avais relevé la petite erreur dans la ligne de code source qui empêchait le lien de fonctionner. Y'a pas d'mal tout d'même !!
Bon, si vous y tenez, ok, allez, merci. Merci à toi Cédric d'avoir corriger ce que mes yeux défaillants de quarentenaire avancé n'ont su voir. Merci à toi d'avoir suppléer mon interprétation par la tienne.
Bon, ça vous va comme ça ? Une séance d'auto-flagellation en dessert peut-être ?
Vous voyez bien : même quand on a rien à dire, on peut toujours trouver des c.......s à sortir.

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Ca m'a fait plasir, mon 'tit Maurice... ;)

5:15 p.m.  

Publier un commentaire

<< Home