Je vous avais déja parlé de Fairouz. Moi, j'aime. Vraiment. Beaucoup. Je conviens que ce clip est à déconseillé pour les âmes sensibles ( moi je pleure quasi à tous coups, mais j'ai une âme de guimauve alors !) Mais cette mélodie me remue, c'est vrai que posée sur ces images elle teinte d'un ton de racolage cette vidéo. Mais à décharge, c'est une déclaration d'amour à sa ville martyrisée depuis si longtemps que, cyniques, nous ne retenons du Liban que la guerre, les meurtres et les attentats. Cette chanson est néanmoins suffisamment ancienne pour constater qu'en effet, rien ne change jamais vraiment au Pays du Cèdre.
Dans le prochain billet, je vous parlerais davantage de Fairouz et moins de Beyrouth.