lundi, novembre 27, 2006

103 - CHANGEMENT

Y a pas qu'en Irak qu'il ne fait pas bon traîner dans les rues ; à Montréal aussi. En ce moment, il est fortement déconseillé de traverser le parc Lafontaine. La raison ? Elle mesure une trentaine de centimètres, pèse au plus 500 grammes, est pourvue de pattes griffues et avides, de deux yeux malicieux et retors, dans lesquels brille une fausse lueur d'innocence (c'est pour mieux te truander, mon passant), est affligée, enfin, d'une démographie exponentiellement galopante qui la rend parmi les plus féroces menaces qui planent sur cette ville, exception faite bien entendu des hambourgeois et autres sous-marins ou chien chauds.
Cette terreur venue du fond des âges, la voici :

Non, ne commettez pas l'erreur coupable de vous fier à ce faux air de candeur béate et craintive. Voilà un dangereux prédateur, s'attaquant en bande aux malheureux passants qui passent. Je le sais : à chaque matin je brave leurs assauts téméraires, ils me guettent de leur yeux porcins, oui oui je maintiens porcins, la lippe écumante, l'incisive étincelante, à la recherche d'un surplus de nourriture, d'une miette lâchée, d'une imprudente main nonchalante. Haro, sus à l'ennemi. Mais que fait DuGuesclin ? Bon, je vous l'accorde, celui-ci semble bien inoffensif, dans sa belle robe blanche. Et alors, le marqueur de la dépigmentation est-il garant de la bonhomie et exempte t-il de la duplicité la plus machiavélique ? Hein ?
Pour preuve, voila de quoi est capable cette engeance toute droit sortie de l'enfer et de ses plus acharnés succubes. Et de ces dégâts, hélas, nombreux !! Car, plus reproducteur que lapins, ce gibier a besoin de gîte, d'abris pour cacher ses amours coupables et leurs fruits encore moins innocents. Et grignote tel arbre, fusille tel autre, évidant tronc centenaire comme beurre sous le fil du même nom. Sus dis-je mes frères. Embrochons la Bardot, avant de tourner nos lances meurtrières des blanchons aux rongeurs aériens que voilà. Allons ma p'tite dame, du renard argenté détournez vos yeux et portez les sur ce pelage incomparable aux vertus calorifères et soyeuses de ce sciuridé nord-américain.
Triste spectacle n'est-il pas ? Eh oui !! Affligeant, car personne, non personne ne se soucie de la
terrible fin de ces nobles arbres. Ah ça mes frères, mes amis, mes semblables, formez vos rangs et courrez sus à tous ces ignobles petits rongeurs nuisibles et gloutons.
Mais malgré cette désolation, heureusement que ce si joli parc nous offre bien des surprises. Les arbres se sont dégarnis et sérieusement ! Les flaques d'eau sont devenues glace, sur lesquelles flânent, gelés les cons, des mouettes ou sternes ou goélands, j'en sais rien je suis pas ornithologue !, albatros au rabais, abandonnés sur leurs ersatz de mers personnelles et à leur image : étriquées. Mais l'image est belle et invitante non ? Bientôt, on l'espère, tout cela sera recouvert de blanc. On l'espère car pour l'instant, on est bien loin des rigueurs de saison. Le thermomètre tourne autour des 10° C, et mis à part aujourd'hui où il a quelque peu chuté, on ne se croirait pas à moins d'un mois de Noël !!
Temps maussade donc aujourd'hui, pluvieux et froid. La neige est annoncée pour cette semaine. Quatre jours de chutes attendus. Hum, on verra ça.

mardi, novembre 21, 2006

102 - CE QU'EST UN SHOWER

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit d'aucune façon de prendre une douche en "communauté", ce loisir très en vogue il y a trois décennies serait tout à fait anachronique, d'autant plus que cette tradition anglo-saxonne est préparée, par la bonne copine généralement (celle qui est de tous les coups tordus !), uniquement dans le cas d'une future maman. Eh oui, cela sert aux langues de vipères, entre autres, d'avoir l'excuse de se réunir entre femmes et, sous prétexte de landaus, couches ou encore avantages comparés de porter "kangourou" ou "esquimau" placoter à l'envi, de gars si possible, et surtout de pouvoir se foutre de la figure de la copine dont l'excès de poids fait fuir toutes les balances du coin, hormis celles situées sur autoroute et servant au controle des poids lourds.
Il y en a une en ce moment de ce genre 18 roues, une remorque toute carrossée en rondeur, le ventre aux yeux et les yeux dans le vague qui vient régulièrement s'échouer, telles ces vieilles baleines désorientées, sur les chaises gémissantes du salon de thé. Va bien que c'est une copine la Clarisse, mais elle fait pitié, peuchère la pauvrette. Encore plus ronde que le poivrot du coin et qui traîne son fardeau sur le ventre, avant de l'avoir sur le dos pendant les 30 prochaines années. Faites des enfants qu'y disaient !!
Enfin, quoiqu'il en soit, dans un élan d'empathie, cette générosité qui va finir par nous grignoter le fond de poche avant qu'il soit long, nous avons proposé d'acceuillir le Shower de Clarisse. Evidemment à l'insu de l'intéressée, que son Hicham de mari a eu la cruauté de traîner quasi de force le dimanche 12 au soir à Arthe. Au sous-sol duquel Arthé s'étaient cachés, entassés, une vingtaine d'amis du couple. Et de la bouffe à n'en savoir que faire. Notamment des Makroud, des Fijwalas et de la salade de poivrons à l'huile, à se pourlècher les doigts. Tout ce beau monde réuni pour couvrir de cadeaux la future maman.
JE VEUX ÊTRE UNE FUTURE MAMAN !!!!! OUIN OUIN OUIN!!!! ET RECEVOIR MOI AUSSI TOUS CES JOLIS CADEAUX...........ET POUR COMMENCER UNE JOLIE LEXUS DERNIER MODÈLE QUI SE STATIONNE TOUTE SEULE !!!
Encore que j'ai eu ma part le lendemain Lundi 13. Nous avions résolu, moi d'aller travailler à l'atelier, et Daniel de faire quelques emplettes pour le magasin. A son retour, il m'a tendu une enveloppe dans laquelle se trouvait................deux billets pour assister le soir même à une représentation de "La Traviata" à l'Opéra de Montréal. Ah l'Universel Amour !!!!

GLOSSAIRE :
- Placoter : clavarder, jaser..........Oh le Poulailler, on la ferme s'il vous plaît
- Poivrot : robineux.............Robineux : poivrot, clodo..........enfin c'est pas compliqué !!
- Shower ; malgré les apparences, mot français....enfin québecquois c'est tout dire. Quand à ce que cela désigne, vous êtes pas sérieux : ça fait vingt lignes que je vous le décris. Innocents va !!
- Innocents : coupables d'innocence.................mentale. Rien à voir avec le massacre des.... encore que, des fois on serait mieux ! Sans dessins (mental toujours), nono : bêta, benet sans toutefois aller jusqu'à l'imbecilité. Non mais je vous en prie, en idiotie comme en toute choses la mesure est requise.
- Makroud, Fijwalas etc..... je vous les décrirais pas, z'aviez qu'à être invités. Pis c'est par sympathie qu'on prend les kilos renfermés dans ces bombes à calories, à votre place. Alors, un peu de reconnaissance (du ventre) ne vous ferait pas de mal.........à nous non plus. Merci Maalox !

samedi, novembre 18, 2006

101 - SAMEDI 11 NOVEMBRE


Jour de l 'Armistice 1914-1918, férié en France et dans certains autres pays d'Europe (j'ai les noms mais je ne les communiquerai que sous la torture !). Journée du Souvenir au Québec, dont le but est sensiblement le même mais dont l'effet est autre : IÇI C'EST PAS FERIE OUIN OUIN OUIN !!!
Mais ce jour-là est aussi celui qu'ont choisi les Louise pour nous inviter à souper avec elles. "A la bonne franquette et en toute simplicité" dixit Louise C., qui a sans doute dû passer la moitié, au moins de sa journée, plantée devant ses fourneaux à nous mitonner un succulent repas. Occasion voulue par elle deux de signaler nos deux anniversaires, Daniel étant né le 10, et moi quelques jours plus tard. Nous avons reçu des présents très touchants et émouvants de Louise G,. Et, plus important, nous avons eu droit à un joli et savoureux gâteau. Oui bon, niaisez pas, Anniversaire se dit Fête, et les fêtes ne se...............célèbrent pas.
Dirais-je que la soirée fût bonne et mieux même ? C'est toujours un régal de se trouver en si agréable compagnie. Il faut dire que nous sommes chanceux. Nous avons vraiment la chance d'avoir dans notre entourage proche des amis de grande qualités. Eh, ouvrez bien vos esgourdes parce que je le dirais pas deux fois : vous êtes formidables, et qu'importe les aléas de l'existence, la distance, le "perdage de vue" (celui là il est de moi !), quand les temps se font froids, quand le spleen prend à la gorge et que l'horizon s'obscurcit, vous êtes là. Et ça vaut tout. Même vos caractères parfois, mais c'est selon l'energumène bien sûr !!, on les oublie.
















Allez, on sèche ses yeux, on se manque tous beaucoup et pis c'est dit. Allez, zou !
Finalement, après des ris et des joies, la soirée s'est achevée sur quelques parties de Tarot, souvenir d'En France, ignominieusement gagné par le vainqueur, mais il faut dire que les perdants ont bien aidé aussi !!

jeudi, novembre 16, 2006

100 - PIS LA 2°


chute 2
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Cap psychologique, un peu comme pour les prix : on vient de franchir les 100 billets........reste à en connaître la valeur nomimale !!

99 - LA CHUTE 1° PARTIE


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98 - LA PASSERELLE


chute
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97 - UN AVANT GOUT DE NOEL


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A l'intérieur du Manoir Montmorency, ancienne demeure du duc de Kent.......dans un autre temps.

96 - UN PETIT TOUR


qc manoir
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Allez, on vous emmène pour un petit tour à Québec. Son charme, ses attraits, sa faune locale.......

mercredi, novembre 15, 2006

95 - UN TOUR A QUEBEC


quebec
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D'abord et avant tout, il faut lire 06 Novembre au lieu de 06 Octobre, mais connaissnant vos capacités intellectuelles, ou vous en faisant crédit peut-être de façon inconsidérée, j'imagine bien que vous aviez corrigé de vous-même.
Ainsi donc, ce lundi 06 Novembre, il n'est pas inutile de le rappeler pour les cancres du fond de la salle, nous nous sommes mis en route, Daniel, Cédric et moi pour gagner la Capitale Provinciale. Vous avez vu l'état de fraîcheur avancé de mes deux merlans de compagnons dans la précedente vidéo. Mais, cahin caha, nous y sommes parvenus.
Première visiste de Cédric à Québec. Aprés lui avoir proposé cette virée au début de l'automne, nous avions laissé passer le temps, lui, recevant ses parents, nous......ne recevons rien, tout le monde nous ayant oublié, mais ainsi est la vie n'est-ce pas. Remplie d'ingrats et l'enfer de bonnes intentions. Non, non, ne croyez pas que l'on vous en tienne rancoeur, les planqués du littoral, les aphones du sentiment méridionaux, les muets des heures chaudes de l'été quand le pastaga coulait à flot à la terrasse d'un bar voisin, car nous le Pastaga bah !! Les amputés du téléphone qui coûte cher de l'autre côté de l'Atlantique, et de ce côté-ci, qui engraisse Bell Canada, hein ! Qui ?
Bon, le moment d'humeur passé, et ce bien injustement il faut le dire, mais aujourd'hui je déprime alors je ne vois pas pourquoi je serais le seul à en profiter, et toc !! tout va beaucoup mieux.
Aux premières heures d'un matin d'hiver nous nous rendons jusqu'au stationnement où est stationnée (NON !?) l'auto de Communauto que nous devons prendre, retirons le siège bébé (Tiens, j'en ai donc encore oublié un quelque part ? ) pour installer le grand gamin à l'arrière, bien sanglé dans sa ceinture de sécurité et hop mon pote, roule ma poule ! Nous voici, modernes aventuriers du Grand Ruban d'Asphalte, lancés à travers la Grande Plaine Québecquoise, cernés de bois Z'et d'eau. Et trois cents bornes de bois Z'et d'eau, croyez-moi on a beau être habitué : ça fait long !!
Parvenus à TROIS-RIVIERES, joli nom pour une bien jolie ville, (d'où son nom !!) nous avons été surpris de trouver un peu de neige. Le Peu est devenu Plus à mesure que nous rouliions vers l'Est, puis enfin Beaucoup Pas mal, rendus à Québec City. (J'attends des commentaires !!)
Ah magie du Manoir Montmorency sous la neige, Ah la chute et sa retenue saupoudrée de blanc, Ah le vif vent qui coupe comme un tranchoir sur la Promenade des Gourverneurs.
Pour le lunch, nous avions rendez-vous chez Diane et Daniel. Nous y avons passé une très agréable et trop courte étape de deux heures environ. Histoire de nous restaurer et de profiter de la chaleur d'amis de 12 ans maintenant.
Vite fait le tour, succint et incomplet de la haute ville et déja se profilait la necessité du retour.
Une bien belle journée tout de même qui a fait du bien à toute la petite troupe je pense.
L'actualité se fait dense et je suis déja pas mal en retard, mais je tâcherai de voler quelques heures au patron pour vous en faire suivre, en léger différé, le déroulement.
GLOSSAIRE :
. Pastaga, tord-boyau meridional provençal. Le Pastis aussi connu au Vieux Port de Marseille qu'au Spoon de New-york. Seul le prix change. A noter dans la famille des Anis, l'Anisette, le 51, dit aussi le "Jaune", le Ricard, et même pour ceux de là-bas dis ! le Cristal. (Comprenez pour "Ceux de là-bas", les Pieds Noirs, quasiment les seuls à boire du Cristal)
. Bornes : vos miles mais exprimés en kilomètres
. lunch : le repas "en-cas" du midi. Dans l'ordre, les trois repas sont : le Déjeuner, le Dîner ou Lunch, le Souper et différentes et nombreuses collations tout au long de la journée !! Variante : le Brunch qui se consomme du déjeuner au dîner.

mercredi, novembre 08, 2006

94 - LA VENGEANCE....PARTIE I


pas
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La réponse du berger...........Oui oui, c'est moi le pâtre grec, le juif errant, le métèque.......oui enfin bon. Le principal intéressé du billet comprendra !!

mardi, novembre 07, 2006

93 - UN AN DEJA

Les mots en verts signalent un lien.

05 Novembre 2005 à 15:30 : arrivée à Montréal Trudeau. Passage de l'immigration. Le sourire bienveillant de l'agent de l'immigration : bienvenue au Canada !! Nous sommes arrivés avec mes parents. Eux pour découvrir ce pays qui allait devenir le nôtre, ou en tout cas nous l'espérions, nous pour enfin prendre la mesure de notre rêve. Pas de doutes dans nos esprits. Nous sommes fermes dans nos résolutions, confiants dans ce qui nous attend, avides des promesses d'un Nouveau Monde, mais surtout de Celui que nous aurons su forger nous-même et pour nos propres vies.
Comme chaque anniversaire, c'est le temps du bilan. Bilan annuel pour les étourdis, les "trop occupés", les "à quoi bon s'attarder sur ce qui est passé", les "myopes de l'avenir". Que nous reste t-il de nos attentes ? Presque tout. Nous avons laissé quelques désillusions, peu nombreuses, nous avons appris à vivre selon d'autres coutumes, de nouvelles habitudes, et nous apprenons encore. En cela nous avons été aidé. Bien sûr, les incontournables : Diane et Daniel, les Deux Louises, Monique et Jean, Colette et Robert, Nina et Germain, François, Denis, Clarisse et Hicham, les rencontres fortuites et réussies, Cédric, Jean, les professionnelles qui ont bien aidé et ne sont plus tout à fait des relations professionnelles seulement : Colette, Jovette, Jacob, Céline, Daphnée, Mercedes, Diane, Daniel. Toutes ces personnes, grâce à leur histoires, leurs conseils, leur présence nous ont aidé à faire notre place. C'est à eux que nous souhaitons un très heureux anniversaire et nous les remercions de leur aide.
Hasard heureux, la veille de cet anniversaire, nous avons été invités par Colette et Robert dans une très belle auberge d'Harrigton, Québec. 90 minutes de route plein nord, à la limite de l'Ontario. Des bois profonds, noirs, rassurants pourtant en cette nuit étrange où la pleine lune jouait avec d'épais nuages. Parfois quelques sombres reflets laissaient deviner une étendue d'eau. Que d'eau, que d'eau. Une lumière isolée, faible mais vaillante trahit par endroit une habitation perdue dans les noirceurs de cette forêt sans fin. Les villes rencontrées, plutôt de grosses bourgades, rassurent sur l'occupation humaine de ces contrées. Puis enfin, on quitte la route, le camion roule encore sur un ou deux kilomètres d'une piste confortable mais insolite. Là, nichée dans une clairière improbable trône l'auberge de Val Carroll. Un ancien foyer de bûcheron racheté par les deux propriétaires, Wayne et Josef, transporté là par camion. Aggrandi par la suite, elle acceuille aujourd'hui jusqu'à 50 hôtes dans les dix chambres du corps principal ou l'une des maisons d'hôtes situées dans le parc de 600 acres. Multiples activités, quelle que soit la saison. Cuisine savoureuse et cadre idyllique. Faites donc un tour à l'auberge, et nul doute que vous tomberez sous le charme. Nous avons eu la chance, alors que nous y soupions, dans une salle a dîner au vieil accent écossais, les fenêtres à petits carreaux ourlés de buée, l'éclairage extérieur illuminant les bouleaux proches, de voir tomber la neige. Ambiance de fin d'année, feu dans le foyer et gouleyant Saint Emilion, mets raffinés, cuisinés par l'ancien chef du Queen Elisabeth de Montréal et Chef attitré du Président du Canadian Pacific, un aperçu du Nirvana.
Un bien bel anniversaire !! Que n'a pu gâcher le retour et ses surprises. Partis à minuit d'Harrigton, nous avons refermé la porte de la maison et nos paupières à 3:05. La cause ? Les détours, parfois invraisemblables occasionnés par des travaux sur l'autoroute. Mais qu'importe !!!

vendredi, novembre 03, 2006

92 - MES PREFEREES



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Parmi les citrouilles (Arff Warff) voici mes préférées. A noter que la grosse orange allumée Z'et hilare est une production parisienne de Zouzouille moleskine qui décidement la pôvre mouline dans la ouate. Les autres et notamment la vidéo est une mise en scène proprement invraisemblable de notre voisin (oui oui on les a laissés s'installer à côté, bien qu'ils aient mauvais genre : pensez des bibites, des cadavres, de la fumée.........ça sent son gothique à plein nez c't'affaire !!). Il nous a dit que l'an dernier il avait installé une toile d'araignée géante qui recouvrait les deux étages. Mais il faut reconnaître qu'ils ont fait un boulot de dingues...............et la distribution de bonbons a été à la hauteur : 5 gros sachets d'épicerie et 2 plats de four.
A noter que pour que les enfants viennent vous promettre des farces ou vous rançonnent de bonbons, il faut qu'au moins une lumière extérieure soit allumée, ou à tout le minimum, vous ayez eu la délicatesse et la générosité d'exhiber sur votre palier une citrouille. Nous, on l'a mangé. Tas de sacripants va !!

GLOSSAIRE :

. Bibittes : vaut mieux pour vous et moi qu'il ne s'agisse pas de ce à quoi vous pensez, monstres lubriques !! Il s'agit des bestioles et autres insectes......Ah, voyez bien, je vous l'avais dit. Vaut mieux pas !!

. Epicerie : la même chose que chez nous, enfin que chez vous. Faire son épicerie = faire les courses et par voie de conséquence, un sac d'épicerie est un sac de supermarché. Nono ! (Ça, vous saurez plus tard, mmpppfff)

91 - HALLOWEEN







Il me semble me souvenir qu'Halloween signifie "le soir de tous les Saints" ou "La veille de la Toussaint". Quoiqu'il en soit, vous aurez compris que c'est l'occasion de faire un joli pied de nez à ce qui nous fait si peur : la mort. Dépêchons-nous donc d'en rire, Vieille Femme la Mort a la dent dure et le goût de la revanche plus impitoyable encore. Est-ce qu'on va s'en faire ? NON
Allez BOOH a tous.

mercredi, novembre 01, 2006

90 - EN ATTENDANT

Juste pour vous faire patienter en attendant le billet sur Halloween. Mais pas le temps, because travail, because flemme monumentale. Alors pour vous faire attendre en douceur et en humour, même si c'est parfois un peu épais cliquez donc là !
Mon préféré ? Hmmmm les grenouilles qui nous fait régresser sans complexe et les pilotes d'avion.

GLOSSAIRE :
.eh oui, même dans un si petit billet, y'a besoin d'un billet !!
. Epais : contraire de fin...........Vous allez me dire que "c'est pas bien nouveau" et je dirais que vous avez raison. Mais le sens diffère tout de même. Un épais est pas loin d'être fin........à quelques neurones prés !!
. Fin : les quelques neurones en plus devraient le rendre plus épais, et pourtant non, c'est même tout le contraire. Quand je vous disais qu'il ne fallait pas chercher de logique !!! Hein , c'est qui qui qu'avait raison ?