vendredi, octobre 26, 2007

208 - AUTOMNE AUTOMNE













Je voulais poster comme un fou furieux pour réagir à des propos blessants, à des attitudes condamnables. Mais finalement, je me contenterais d'opposer le mépris de mon silence à ces comportements.
Vous allez dire que je mène l'âne à l'abreuvoir et lui refuse l'eau.......Oui, oui, vous avez raison. Mais bon, tout compte fait, les ânes...........

Je vous dirais juste qu'il s'agissait d'accomodements raisonnables, de xénophobie, voire bien plus....mais bon ! Brisons là. Si certains d'entre vous souhaitaient toutefois savoir de quoi il retournait, je me ferais un plaisir de vous envoyer une belle et détaillée missive éléctronique.


Quoiqu'il en soit, je ne vais pas résister au plaisir de vous livrer cette anecdote qui a bien fait rire notre amie Isabelle, même si elle s'en est trouvé un peu consternée.



Daniel, lundi dernier, s'était rendu à St Sauveur des Mont, charmante bourgade des Laurentides, cossue assez, à une heure de Montréal, pour tenter d'y placer la porcelaine. En faisant l'argumentaire, il a dit que le produit était fait au Québec. Réponse de la vendeuse " Vraiment ? Avec l'accent que vous avez ?"
Ça ne nous empêchera pas de profiter de ces belles journées d'automne. L'automne qui décidement, est sans conteste ma saison préférée. Il se fait des matins piquants et des soirs d'odeur de neige. Les couleurs irradient, tranchent sur le ciel bleu comme aujourd'hui. Nous avons connu un bel été indien. Même si techniquement, on ne peut pas parler d'été indien. Il aurait fallu que les nuits givrent. Nous avons même battu un record de chaleur pour la saison. 24°7. Et Celsius !
C'est le temps des citrouilles. Les décors fleurissent un peu partout, dans les magasins ou devant les maisons. Les toiles d'araignées ont envahi la ville, moi qui déteste ça.






mardi, octobre 16, 2007

207 - NOUVELLES PÊLE-MÊLE

Quelques infos en vrac.
- Notre tout nouveau prix Nobel de la Paix, j'ai cité Al Gore, pour son combat en faveur de l'environnement a cosommé l'an dernier 200 000 kw d'éléctricité pour sa consommation personnelle, soit 20 fois plus que la moyenne nationale états-unienne. Bel exemple.
- Le Québec vert, je parle de la Province et non du Canada, serait, en tant que pays indépendant au troisième rang de la consommation d'énergie au monde, (en ratio par habitant) juste aprés les U.S.A. et la Chine. Beau palmarès pour un "pays" de 7 millions d'habitants.
- Hier, Lundi 15 Octobre, la Presse faisait état de l'autorisation du diocèse d'Ottawa de l'église anglicane canadienne, accordée à ses pasteurs de célèbrer des mariages religieux en direction des couples de même sexe. Cette autorisation permettra aux pasteurs qui ont feront la demande de valider ces mariages. Cette mesure fait suite à la même autorisation octroyée par le diocèse de New Westminster, B.C., toujours de la même église anglicane canadienne.
- Aujourd'hui, La Presse annonce le mariage civil gay de deux détenus de la prison de Cowansville, à 90 kilomètres de Montréal. Les deux futurs époux, âgés de 26 et 22 ans sont condamnés resectivement à 18 ans pour meurtre sans préméditation et 10 ans pour homicide involontaire. Le mariage aura lieu le 29 Octobre en toute intimité. A l'issue de ce mariage, ils n'auront pas de traitement de faveur. Ils résident actuellement dans deux pavillons séparés, et l'administration n'entend rien changer à cet état. Il est à rappeler que le mariage civil homosexuel est garantit par la charte canadienne des droits et libertés.

dimanche, octobre 14, 2007

206 - ILS NE L'ONT PAS FAIT

Ben non, il n'ont pas pris leur revanche sur les perfides rejetons de l'altière Albion. Je devrais sans doute les remercier ! Grâce à leur défaite, je vais conserver les quelques cheveux qui me restent. Mais je doute que cela leur soit d'un grand réconfort. A dire le vrai, je pense même qu'ils s'en cognent le coquillard ! Et moi avec eux. J'aurais préféré devenir Yul à défaut de Sébastien (Chabal bien sûr) et qu'ils leur mettent la pâtée à ces ennemis héréditaires qui nous courent sur l'Europe taillée à leur mesure !
Je veux les remercier tout de même ces gaillards phénoménaux qui savent inventer des solutions que personne avant eux n'avaient envisagé. Ils ont ce génie invraisemblable de vaincre acculés au mur. Ils sont bons, mieux que cela même, dans l'adversité, mais il faut le reconnaître, ils sont nuls, favoris ! Cela a toujours été. Oui, ils sont bien des coqs, heureux, chantant et optimiste les deux pieds dans la merde. Sitôt sorti de son tas de fumier, l'orgueilleux se tait et courbe la crête.
Quelqu'un m'a demandé "Pourquoi donc tu aimes tant le Rugby ? C'est violent, brutal et barbare. Et vu ton gabarit......" Eh oui, pourquoi donc ? Pas seulement à cause de joueurs, ces montagnes d'hommes à la beauté brute et sauvage. Même si..... . Tout simplement parce qu'en mes jeunes années, je n'aimais pas le foot. Et pourquoi n'aimais-je pas le foot ? Ben là...... Flash-back.......
Vers ses 11 ans, quelques années avant, quelques années aprés aussi, le jeune Maurice est un soliltaire. Il n'aime pas la compagnie de ses petits camarades de classe. Ils les trouvent bêtes, primaires, idiots et carrément crétins. Aucun intérêt. Le jeune Maurice préfère de loin la compagnie des grands, ou mieux encore, celle des arbres et des étoiles. Non pas les aieux ! Les miens, les survivants du moins, ont superbement ignoré l'infâme petite crotte que je leur paraissais être. Comme il était d'usage dans ces familles là que l'on considére l'enfance, quand bien même, ces enfants étaient destinés à devenir les réceptacles de leurs héritages. Je m'étais déja, à l'époque, forgé certaines idées qui sont de mes valeurs d'aujourd'hui. Parmi celles-là, la fidelité en amitié, mais la conscience également que ces amitiés là sont rares. Les relations sociales ne me paraissant donc qu'illusoires et inutiles, je n'étais pas parmi les gars les plus populaires et cela me convenait parfaitement ! Or, il fallait que je frotte à ces sombres crétins aux pieds puants et à l'humour dévasté de conneries au moins une fois par semaine sur les terrains de basket ou de foot en l'honneur de notre heure de sport. J'aimais la gym, beaucoup moins les ambiances de vestiaire. J'aimais la gymnastique au sol, j'aimais l'athlétisme car je n'étais pas taillé pour ces disciplines et que cela me demandait de sérieux efforts pour me mettre au niveau. Mais surtout parce que j'avais ainsi légitimité à être seul. J'aimais cette compétition de moi à moi. Les autres, je m'en foutais. Ils étaient meilleurs ? Grand bien leur fasse ! Ils étaient moins bons, leur probléme pas le mien ! Et surtout, j'aimais voir dans l'oeil de mon prof de gym le respect qu'il s'interdisait de me dire, mais qu'il manifestait, de mon travail acharné. Parmi les petits privilèges qu'il m'octroyait, la grande liberté de faire des haies lorsque les autres fasaient foot ou basket. Je ne manquais pas aux équipes et elles me le rendaient bien. On m'a reproché d'avoir peur du ballon. Pas vraiment. Je redoutais bien plus l'imbécile heureux qui d'un coup de pied volontaire m'allumait la gueule. Et ça les faisait rire. Donc, sitôt qu'une "action" se dirigeait vers ma zone du terrain, je faisais en sorte de regarder ailleurs. Ces "digressions" étaient parfois sanctionnées d'un but, lequel haussait le mépris de ceux-là à mon encontre. Et tant mieux. On a donc commencé à me donner des noms d'oiseaux, ......de piège à souris aussi. Je n'ai pas l'âme bagarreuse. Enfin...je contrôle assez bien. Sauf quand je pète les plombs. Les circonstances, le nombre n'est plus vraiment un obstacle quand je rentre dans mes nerfs. Je n'y fais tout simplement plus attention. Les parties se terminant souvent en pugilat, mon prof me donnait donc le droit de faire un peu ce que je voulais pendant que les autres tapaient dans la ba-balle. C'est ce faisant que j'ai remarqué ce drôle de jeu, à l'autre bout du stade. Ces étonnants rassemblement de joueurs, ces percées, ces placages. Je me suis progressivement rapproché. Les joueurs avaient sensiblement le même âge que moi, mais ils me faisaient deux fois au moins. De fil en aiguille, sans doute amusés de mon assiduité à les regarder, sans doute amusés aussi à l'idée de notre différence de corpulence, on m'a demandé si j'aimerais essayé de jouer avec eux. Pourquoi non ? Là, j'ai immédiatement aimé. Pas seulement le jeu, ça c'est viscéral, difficile à décrire. Quand tu as le ballon, que tu dois passer la ligne des avants pour aller marquer entre les poteaux, il faut bien que tu fonces, il faut bien que tu attaques, que tu pousses. Tu sais que tu vas avoir besoin de tes camarades, que seul tu n'y arriveras peut-être pas. Quand tu es regroupé en mêlée ou en maul, qu'il faut que tu pousses pour gagner du terrain, centimètres par centimètres, tu as le sens, le goût et la perception de ton travail de ton effort. C'est excitant en maudit ! Alors oui, c'est un combat. Mais il est digne. Ces gars-là, malgré qu'ils m'ont moqué aux premiers temps, m'ont fait une place dans leur équipe. Ils ont vu qu'elle était ma determination, ils ont compris ou non, ce qui me poussait, et cela a suffi pour qu'il m'accorde leur respect, et tant pis si je n'avais pas la corpulence requise, tant pis si j'étais un peu introverti, encore qu'avec eux je l'étais beaucoup moins, j'avais gagné ma place parmi eux et j'étais des leurs.
Bien des années plus tard, sortant de mon service militaire, j'ai travaillé comme barman dans un bar de Grasse. Le reste de l'équipe était constituée d'un nombre appréciable des joueurs de Rugby de l'équipe fanion de Grasse : Philippe, Bato, Serpi, Titi, René. Zé. C'est ainsi que l'on s'interpellait. Hé Zé ! Et ce Zé là savait que c'était à lui qu'on s'adressait. Nous ne nous connaissions pas vraiment, hormis Philippe dont la mère était ma fleuriste attitrée. Mais le récit de mes aventures rugbesques anciennes nous ont rapprochées. Au point que nous avons connu deux saisons de troisième mi-temps. René a été le premier d'entre eux à savoir mon homosexualité pour l'amour que j'avais de lui. Ce beau corse au regard ténébreux a longuement, patiemment et sagement écouté mon discours vaseux et embrumé d'alcool (ben oui !.......Une idée vient de me traverser l'esprit qui me fait soudain dire que peut-être l'alcool me rend amoureux !). A la fin, il a mis une main sur mon épaule et m'a dit dans un sourire : je te remercie. Ni plus, ni moins. Aux autres enfin, un soir de sortie, j'ai avoué que draguer les nanas à Cannes n'était pas ma tasse de thé. "on te trouvera des gars". Aussi simple que ça. Dans ce sport jouent des hommes. Et on attend d'eux qu'ils se comportent ainsi. Ce qui veut dire, se comporter avec honneur, respect et sincérité. Rien à voir avec qui tu b..... . Le Rugby est un sport d'équipe, qui se joue dans le respect de soi, des ses coéquipiers et de ses adversaires, dans l'honneur. Vainqueur, on honore le vaincu, on l'invite, on partage avec lui la troisième mi-temps, celle de tous les débordements, mais celle qui rassemble, qui empêche la jalousie, la rancoeur de venir pourrir l'esprit de ce sport. C'est un sport d'équipe. Contrairement au foot, où l'équipe ne fait que servir de faire-valoir aux prétentions personnelles. Un sport d'honneur, contrairement au foot, ce sport de tapettes ! Alors voilà pourquoi j'aime ce sport et les gars qui le jouent : ils m'ont fait une place. Au lieu de mettre l'accent sur ce qui nous séparait, ils ont vu ce qui apporterait à l'équipe. Dans le jeu et dans la vie. Je suis de leur équipe.

mercredi, octobre 10, 2007

205 - ILS SONT PARTIS

Snif, ouin, ouin.


Il y a un peu plus d'un an, un matin de Mai, Clarisse est entrée dans la boutique. Elle venait, curieuse, voir de quoi il retournait dans ce nouveau local aux couleurs vives.

L'amitié est née de suite, aussi spontanée que le sont Clarisse et Hicham. Le temps filant, nous avons eu de belles soirées, des repas sympas dont vous avez pu être les témoins, des moments inoubliables. Grâce à eux, nous avons fait la connaissance de Paul et Cyrille, de Lydia et nous avons découvert des personnes rieuses et généreuses. Nous avons donc été témoins d'une fraction de leurs vies, comme eux ont été les témoins de notre parcours. Nous les avons vu devenir parents, puis époux, cimenter de nouveaux projets.....

Ils se sont envolés Vendredi dernier vers les nouveaux cieux de leur nouvelle destinée. Elle va se situer au Qatar. Nous leur souhaitons bonne chance et leur disons merci pour cette rencontre qui nous restera. Ils vont bien sûr nous manquer, mais ce n'est pas ce que j'ai envie de retenir d'eux. Et puis, qui sait, nous nous reverrons.

On vient de gagner un pied-à-terre de villégiature au Qatar. Ce n'est pas si mal !!!

dimanche, octobre 07, 2007

204 - ILS L'ONT FAIT !!

Bon, ok, je le sais. Vous n'êtes pas des fanas de rugby. Enfin pas tous. J'en connais quelques-uns qui s'y intéressent. A ceux-là, je dis : Hey ! C'est les phases de jeu qu'il faut regarder........pas ce qui se passe dans les mauls !! C'est vrai que toutes les années maintenant nous avons droit à notre calendrier "Boute-en-train". Vous savez ce qu'est un boute-en-train ? Le Dindon de la Farce. Toujours mené à l'abreuvoir et qui jamais ne boit !! Ben oui ! Ah que la vie est donc cruelle !!!
N'importe. Ils l'ont fait !! Quoi ? Boire ? Mais non, faites au moins semblant de vous passionner pour ce sport qui n'en est pas un. Qui est plus que cela, qui est un monde en soi, avec ses propres règles, ses propres valeurs. Et ne venez pas me cracher au visage votre honneur de footeux, ce sport de tapettes (Hi hi), de filous de renégats et de sauvages. Au rugby, on se bat c'est vrai. Mais c'est fait proprement et surtout dans le respect de son adversaire. Car mieux que partout ailleurs, on sait là que respecter l'autre, c'est se respecter soi-même. Et il ne viendrait à l'idée de personne de cracher en l'air pour voir si ça vous retombe sur la gueule....... à part aux footeux. Mais il est vrai qu' eux, non pas d'idées et, souvent, encore moins d'honneur !
Donc, oui, il l'ont fait. Et vous devez le savoir mieux que moi qui avez eu la liberté de zapper le match Nouvelle-Zélande/France (Honneur aux vaincus). C'est une histoire de couleur, d'herbier et de bestiaire : les Rouges, les Bleus, les All Black,le Chardon, La Rose, Le Coq, les Springbox....... Vous me direz, dans la F1 aussi (les rouges, les bleus, oui mais ça s'arrête là ! Pas de poésie avec les compresseurs ). Nous, nous n'avons pas eu cette liberté de choisir. Nous, nous en sommes privés. Le résultat nous a été livré, sec. Sans un petit trémolo, pas même le soupçon d'un vibrato. Sec, vous dis-je ! Ah, une bonne idée L'Barouf d'être passé au feu !
Je disais sur le blog de Serge Simon que cette victoire me laissait une joie exilée. Et c'est ça. C'est dans ces grands rendez-vous que me manque la France. Quoique. Je m'en fous un peu de la France. C'est une certaine idée de ce pays qui me manque. Ce qui relie et rend vivant. Et (oui je vais l'oser !) putain que je suis vivant quand je regarde le rugby. Ça me prend là, dedans, profond. Parce que ça dépasse mes 80 kilos (Oui, oui j'ai grossi récemment), mon mètre quatre vingt huit et ma boule à zéro (Là, par contre, je me tâte encore. Vais-je vraiment me raser ! OK, ALLEZ, JE PRENDS LE PARI : QUE LA FRANCE GAGNE ET JE ME RASE LA TÊTE COMPLÈTEMENT !!!) Je les aime, ces montagnes d'hommes qui savent sortir d'eux-même tant de courage, de force, de ténacité, cette abnégation de soi face au collectif. Je les aime parce que je vois alors que c'est possible. D'être solidaire, de se soucier davantage du groupe que de soi, de mettre l'accent sur ce qui rassemble. Ne soyons pas naïf : l'Ovalie n'est pas l'Eden. Tant s'en faut. Mais ce mythique pays là est sans doute l'avant dernière étape. Et moi, rester sur le banc devant la porte, ça me fout les boules !!!
Donc, les Bleus ont battu les Blacks. Personne n'a démérité. Tant s'en faut. Nous n'avons donc pas vu le match (Même TV5 n'a pas jugé utile de le rediffuser.) Mais le résultat parle de lui-même. Encore une fois, on va assisster à une finale Nord-Sud. Deux visions différentes du Rugby. En effet, il serait audacieux (et je n'en prendrai pas le pari) d'envisager que l'Ecosse pourrait résister aux Argentins, on peut donc tabler sur ces deux demi : Angleterre - France et Afrique du Sud - Argentine. Et nous allons rater ces 4 très beaux match.
La semaine dernière, nous devions, avec Isabelle et Steve assister au match Australie Canada, Steeve étant australien et Isabelle canadienne, nous faisions Daniel et moi, fonction d'arbitre. Hélas. L'Barouf ayant passé au feu, il semblait que les propriétaires avait organisé des soirées matches au Parc Lafontaine. Un immense drapeau français flottant sur la façade du châlet devait en principe marquer l'endroit où se tiendraient les évenements. Nous avions, Isabelle, et moi, tour à tour, contrôlé et recontrôlé les dates et heures des rediffusions. Mais à l'heure dite, au lieu dit : personne. Isabelle a donc pris de l'information en appelant le numéro qui figurait sur les grilles horaires, mais là elle s'est fait répondre que "a pas savoir. Ça se passe là où il y a un drapeau français" Oui, mais le drapeau avait été retiré. "Repérez le drapeau et c'est là que se tiennent les rediffusions" Montréal fait 50 kms de long sur 20 de large. Les drapeaux français, même grands, ce n'est pas ce qui manque ! Donc, nous n'avons pu suivre ce match là. Je crains qu'il en aille de même pour les suivants. Mais je ferais de la recherche. Je ne veux pas me laisser priver de ce spectacle. A qu'on va leur écrabouiller la gueule à ces Albions !