dimanche, août 26, 2007

197 - EN VRAC

Pêle-mêle toutes sortes de nouvelles. D'heureuses et d'un peu moins. Je mettrais de l'ordre plus tard, quand j'aurais le temps, quand je serais vieux et que plus personne ne voudra de moi (ce qui devrait arriver pas plus tard que courant de la semaine prochaine !), quand je serais à la retraite. Je détaillerais et je ferais plus long....quand on a le temps, finalement, ce n'est plus un luxe, juste le triste quotidien !
-First, avant hier soir Daniel s'est fait heurté en vélo par une voiture. Non, ne riez pas, une blonde. Oui, oui. Avec un cellulaire vissé à l'oreille. Oui, oui. Bon, cessez de vous agitez, de trépignez, de hurler et d'arracher vos prothèses capillaires : IL VA BIEN. Tout est en ordre et à sa place (pour autant que j'ai pu en juger !). Son égo en a pris davantage que son squelette. Cela nous a simplement valu un bon sprint pour rattrapper la blonde qui n'a pas jugé nécessaire de s'inquiéter du sort de sa victime. Nous l'avons donc rattrapé à une lumiére rouge et lui avons dit notre façon de penser, et même un peu plus je le crains, juste avant de signaler le 9-1-1. Espére qu'elle se sera mangé une prune bien salée. Cette désinvolture ! Boum, que je t'accroche, pis c'est tant pis pour toi, t'avais qu'à pas être là !
-Secundo : cette même soirée, ou plutôt la nuit qui a suivi, je me suis fait voler mon vélo. Je sais, c'est rigolo de voler un vélo, mais ça m'a mis furax le lendemain matin. Le troisième qu'une main indélicate nous dérobe en un an et un mois ! Les junkies vont apprendre à connaître ma mauvaise humeur. Je vais placarder un écriteau sur le portail :" Le premier dont j'aperçois le pied intrus dedans MA cour, je lui fracasse la gueule avec mon nouveau bâton de base-ball acheté tout exprès. Soyez gentils de prendre rendez-vous pour son inauguration !" Je magasine déja les battes et apprend la difficulté du choix de cet accessoire " pin de bois ou bois d'érable, je sais je sais c'est à l'envers mais c'est fait exprés : avouez que c'est plus joli non ?, équilibrage....". À noter tout de même qu'ils (forcément deux au moins !) ont dû escalader un grillage de plus de 2 pieds de haut qui interdit l'accès à une cour mitoyenne de deux appartements, eux-mêmes logés dans un sextuplé. Pas peur d'être dérangés les pilleurs. Elever dans les airs le vélo (Un V.T.T qui fait son poids et ses 21 vitesses !) pour le poser délicatement dans les bras du comparse. A posteriori, je me demande ce que j'aurais vraiment fait si je les avais découvert. Faut dire que j'aurais pu les voir durant ma ronde nocturne pour soulager Dédé. Sauf que, nu comme un ver, aurais-je eu le cran de braver les quolibets (forcément et férocement envieux !! Ben voyons !) de ces indélicats ?
-Azwekui lya (Demandez pas, ça veut dire "troisièmement") si vous êtes dans le domaine du bâtiment public, réjouissez-vous : un marché de plusieurs milliards de dollars va tomber comme un fruit mûr dans vos escarcelles : l'ensemble du Canada et les états du Nord-Est des États-Unis doit procéder à la réfection et l'établissement de nouvelles infrastructures routières. Les précédentes menacent ruine, quand elles ne l'ont pas tout simplement déclaré à l'image du viaduc de la Concorde à Laval l'an dernier ou le Pont qui enjambait le Mississipi au États. Une quarantaine de ponts sont sous surveillance à Montréal et dans sa banlieue. Plus d'une centaines d'ouvrages au Québec, quelques milliers dans le reste du Canada. Il y a quelques mois, c'est un gouffre qui s'est ouvert sur la rue Sherbrooke Est, axe Est-Ouest important, hier, une dalle qui recouvre la ville souterraine s'est fissurée. Ayoye ! Est-ce que c'est que Montréal va s'abîmer dans les flots du St Laurent ?
- Quatrièmement : notre cliente favorite de Guadeloupe a survécu à l'ouragan qui a balayé la Guadeloupe. Elle a enfin donné signe de vie avant hier. Mis à part des coupures d'eau et d'éléctricité, elle n'a pas d'autres dégâts à déplorer que quelques arbres arrachés......et surtout, elle serait intéressée à prendre la porcelaine à compte d'agent sur le secteur Antilles-Caraïbes !
- Cinquièmement : nous allons bien. Trés bien. Nous sommes heureux. Sauf que j'ai une crise de psoriasis comme jamais. Mais c'est rien, ça va passer.
On vous embrasse et on se revoit bientôt

mardi, août 21, 2007

196 - PREPARATIFS

C'est bien connu, il ne suffit pas de se goinfrer.....il faut aussi faire la vaisselle. Ou la laisser faire. C'est ce que nous avons décidé. Il y avait deux femmes, fallait bien qu'elles servent ! Je sais, je suis abject !.....Pis ?

195 - RAS LA MOUMOUTE



Vous allez dire que "Oh non, pas encore ! Qu'est-ce qu'il a encore à chialer ? Yé jamais content c'ui-là". Non, ben si. Cela fait la troisième vidéo que je tente de poster sur le blog. Troisième vidéo mais neuvième tentative. Et à chaque fois, ce niaiseux petit message énervant et moqueur : "Une erreur est survenue pendant l'envoi de cette vidéo. Cela peut arriver QUELQUES FOIS........" En même temps, c'est de ma faute, car il est bien écrit " Quelques fois" et non "quelquefois". Une façon astucieuse de se couvrir juridiquement et de laisser croire que c'est purement accidentel ou bien que l'utilisateur est décidement un branque fini ! Je hais DailyMotion. De grâce, je vous en prie, si quelqu'un connait un autre hébergeur de vidéo qu'on me le dise. Promis, je serais gentil durant tout un mois complet !! Une horreur !
Donc, ben désolé pour vous, mais il vous faudra vous contenter de cliquer sur les liens pour découvrir les vidéos que je voulais vous montrer.
Samedi soir, nous étions invités chez Louise G. pour déguster un Couscous-tarot party ! Une spécialité marseillo-québecoise. Ah le brassage culturel !! C'était la première fois de Cédric. Un dépucelage en quelque sorte. Il a osé le bougre ! Osé prendre le chien et gagner en plus de ça ! Traître !
Vous découvrez donc le petit paradis de Louise. Un souvenir de nature sauvage et indompté (enfin presque.....cela a demandé beaucoup de travail à Louise pour ce jardin anglais) à dix minutes du centre-ville de Montréal et de ses tours. A n'y pas croire. Et Dieu que l'on y était bien !
Merci à Louise C. de m'avoir autorisé à publier ces vidéos. C'est pas vieux là, ça date de ce matin !

samedi, août 11, 2007

194 - DANSER SUR LA TÊTE

Vous connaissez sans doute l'expression "Marcher sur la tête", eh bien pour accomplir cette étonnante danse, il a fallu, à un moment ou à un autre "marcher sur la tête". Je reconnais que ça tient autant de la gymnastique que de la danse, mais c'est époustouflant. Je n'ai pas la fibre "ballet", les petits rats, les tutus roses..... sans compter un étonnant phénoméne physiologique qui m'empêche de savourer tout à loisir la vue de gars en collants. Mais là, ça vaut le détour. Je suis resté scotché sur l'écran. Une telle aisance, une telle façilité. J'ai subitement l'impression de n'être qu'une sorte de pachyderme informe et sans grâce aucune (oui, bon, n'en rajoutez pas s'il vous plaît, je vous en prie !).
Merci à Louise G. de m'avoir fait découvrir le spectacle !

vendredi, août 10, 2007

193 - UN COUP DE FOUDRE PLUS RÉCENT

Merci à Putumayo. Pour ceux qui ne connaissent pas cet éditeur, précipitez-vous sur son catalogue ou son site : www.putumayo.com. En matière de musique du monde, de musique tout court, ils sont renversants. Et pour ce qui est des pochettes et de leurs affiches, ils font appel à un artiste que nous trouvons Daniel et moi, merveilleux de sensibilité, d'originalité, et d'une richesse "mixiste" (?) sans frontière. Malgré qu'il s'agit d'une compagnie américaine, ils développent un programme marketing original et allient un sens éthique et social d'autant plus remarquable. Une mentalité à laquelle nous avons toujours été sensible. Les firmes US passent, à juste raison, pour des requins sans foi, Putumayo démontre qu'il en existe dotées d'une conscience morale des plus aigües. Gage de qualité, en tout cas pour moi, Putumayo est partenaire d'Harmonia Mundi, enseigne à laquelle je dois quelques-uns de mes coups de foudre "classique" les plus fidéles.

192 - BONNE JOURNÉE akhbarak eih ♫ ♪

Avouez que ça met de bonne humeur le matin au réveil ! Une dose de soleil levantin. Depuis une semaine environ le cd joue sans discontinuer et à fond de baffles dans l'atelier. Seul, idiot et heureux, je laisse mon corps chalouper, mes mains s'envoler en volutes lascives. Je m'essaie à des onomatopées que je crois arabes et qui feraient sans doute hurler de rire n'importe quel gardien de chévres syrien.

J'ai découvert Maya Nasri il y a quelques années. C'est mon voyage personnel, un jalon de mon cheminement oriental. Et j'aime ça. Elle est belle, elle chante bien, elle sait unir deux visions du monde. Moi, ça me remue les pieds, ça monte le long des jambes (Oui, Panama... de toutes les jambes !), ça me rentre profond dans le coeur et ça y est bien. Faites l'effort de la découvrir. Elle en vaut le détour. Fairouz aussi, mais on verra ça plus loin.

lundi, août 06, 2007

191 - RAS L'ARC-EN-CIEL

Vous me direz : c'est de saison. Que l'on parle au propre ou au figuré et c'est vrai dans les deux cas. Mais ce qui me fait réagir (encore que, je vous l'accorde, il y ait une bonne part de comédie dans cet émeuvement. Je n'y peux rien, c'est ainsi, j 'ai l'âme d'un cabot ! Pis vous aimez bien......rien que pour pouvoir me critiquer en toute quiétude dans un saine et trompeuse attitude zeno-compréhensive ! Pas la peine de vous cacher derrière les autres, c'est de VOUS deux là que je parle. Oui je me comprends !!)
De quoi donc je parle ? Premièrement les fiertés. Non pas que j'y sois opposé. Manquerait plus que ça ! Ce qui me les gonfle gentiment c'est (ainsi qu'on à pu le voir à Montréal ) la gueguerre entre les différentes organisations pour mettre à l'affiche le défilé et donc ramasser les pepettes des annonceurs. Normal me direz-vous. Sans doute, mais dans tout ce joli fatras qui se souvient encore de l'origine de ces défilés ? Qui se souvient des évenements du Stonewall en Juin 1969 ? Qui se rappelle pourquoi les homo se mettent des plumes, des cuissardes et vont minauder sur leurs chars irisés sur des musiques trance ? On va pas réchauffer la même soupe, ok, mais c'est pas parce que ça devient "Nouvelle Cuisine" qu'on doit là aussi ne plus rien avoir dans l'assiette.
Les défilés sont donc, en majorité, devenu LGBTA. Ça se veut tellement intégrant que c'en devient intégriste. Qu'est-ce qui se cache derrière ces lettres hermétiques. Lesbien Gay Bi Transgenre et Autres. Bien. C'est qui les Autres ? Ceux qui aiment les pastèques jaunes, les accro de la patate chaude, les haricophiles et autre pompomanias ? Sans compter que intégrant, intégrant, le milieu gay est sans doute l'un des moins intégrants que je connaisse (ok j'avoue, je n'ai pas encore tout essayé), mais soyez honnêtes : si t'as pas la bonne marque et la bonne coupe de fringue, pas la bonne coupe de cheveu, pas le visage lifté trois fois, pas les bons pecs (on se donne les tours de biceps et de cuisses maintenant, je rêve !) pas le bon âge (pas la peine de savoir compter au-delà de 35 !), pas la bonne shape, pas la bonne profession et pas le bon compte bancaire, pourquoi le Milieu Gay te parlerait-il donc ? Ah ! le fameux ghetto où l'on est si bien. Et tout ça, rien que pour pouvoir PARLER ! Donc pour l'intégration.......reste du travail. Alors le LGBTA................. C'est comme si on voulait faire croire que tout est beau tout est joli tout le monde il est gentil dans le milieu. On nous serine sans cesse les mêmes clichés : ce sont les gay qui lancent les modes, on s'éclate dans les boîtes gays..... Va essayer de trouver quelqu'un qui t'écoute quand tu es un gay dans le trouble parce qu'il s'est fait vider de chez lui, qu'il se retrouve à la rue sans travail et sans amis ni famille. C'est beaucoup moins glamour les troubles, c'est beaucoup moins nécessaire d'être intégrant avec ces personnes là. Et cette grande hypocrisie, j'en ai marre. Assez d'entendre toujours les mêmes idioties. Ok, je suis un idéaliste, incroyablement naïf. Ok, le monde ne changera pas et c'est pas moi qui le fera changer. J'aimerais juste qu'on soit honnête c'est tout, mais même dans le Milieu Gay, il semble que ce soit trop. Trop ou pas assez Glamour. Pour un peu, je virerais ma cutie, tiens ! Bon, j'ai l'air sans doute un peu remonté, mais je reconnais que j'apprécie d'aller PERIODIQUEMENT, dans le village ou le quartier gay de n'importe quelle ville qui se respecte pour aller dans un restaurant. Lorsque nous étions à Nice, nous allions avec Daniel dîner dans un restau gay pour la St Valentin. Tout simplement parce que l'on pouvait s'y bécoter sans encourir un de ces regards désapprobateurs. Les regards je m'en cogne, les phrases les insultes aussi. Mais un soir romantique, j'ai plus envie de me laisser porter par la magie du moment plutôt que de devoir expliquer pourquoi je co----e majestueusement ton attitude austère et vaguement victorienne monsieur et madame qui me regardent en chuchotant. Donc merci au ghetto d'exister, mais ce sont ces travers qui me sont insupportables. Vivre en vase clos n'a jamais été un facteur d'ouverture.
Deuxièmement, j'en ai ras la plume de ces comédies romantiques, ces sorties de placards hollywoodiennes, ces pères fâchés qui retrouvent leurs fils honnis, ces mères effondrées qui pardonnent à leurs filles de n'avoir pas un beau mariage en blanc avec prêtre, traiteur, collerette et tout et tout. Et fatalement, ces comédies à l'eau de rose fleurissent quand dans les cieux estivaux (on dit estivaux ?) les arcs-en-ciel irradient. N'allez pour autant pas croire que je déteste ces sensibleries de mauvais genre. Je suis client, et pas qu'un peu. Sous mes dehors de bûcheron taciturne, je cache une âme de midinette qui ne déteste pas les slings et les chaps (mais non je rigole. Je vous jure ! J'ai même pas de donjon, c'est vous dire...........l'appartement est vraiment trop petit !). Donc, la semaine dernière, j'ai regardé :"Un soupçon de rose" ou "Un goût de rose" (Vous saviez qu'il existait une pratique qui s'appelle "Pétale de rose" moi non. Bon, ça va, on est entre nous, il est tard et les parents sont couchés, alors ....) bref, l'histoire d'un jeune ismaëlien (tendance dure Warf warf warf !!) amoureux et cohabitant avec un jeune torontois (des dépravés ces gens-là, je l'ai toujours dit !) à l'insu de sa maman (qui n'a pas de mal à être "insuitée" puisque vivant à Londres, Angleterre......il y a aussi un London en Ontario) qui désespère un peu de le marier son grand gaillard de fils. Elle profite donc du refus filial d'assister au mariage de son cousin en Angleterre, pour débarquer à Toronto........vous imaginez la suite. Le torontois devient un colocataire et sa soeur, la fiancée que l'on cache à maman au prétexte qu'elle n'est même pas musulmane la pauvre. A la fin,tout le monde se découvre (on reste habillé, je vous ai dit que c'était une comédie sentimentale, pas les souvenirs de Madame Claude !), on se jette dans les bras les uns des autres, on s'aime, la vie est belle, l'avion est blanc et il reste du Perrier au frigidaire. La semaine précédente, c'était une autre niaiserie du même genre, mais là c'était Eric Roberts (le frère de sa soeur), atteint du sida, qui orchestrait sa mort en donnant une soirée à laquelle amis et famille assistaient. L'occasion pour le père de retrouver son fils (juste avant de le reperdre pour de bon cette fois, quelle ironie ! J'vous jure les scénaristes !), la mère de se réconcilier au pêre, à l'ex amant de tenir la main moribonde etc etc. Beau à faire pleurer toutes les madeleines de la terre (c'est mon deuxième prénom, mais mon père m'a toujours fait défense de le reconnaître. C'est la raison pour laquelle, si dans la rue vous m'appelez "Madeleine" je ne vous entendrais même pas. Ou alors c'est que je ferais semblant de me retourner pour voir si vous ravalez votre mot !) Eh bien non. Dans la vraie vie, les jeunes homos se font virer de chez eux à coups de fusil, je le sais, j'ai connu Bruno. D'autres ne voient plus jamais leurs familles (je le sais, il est une personne qui m'a interdit de fréquenter mes deux familles. Heureusement, dans une des familles nous transmettons les gênes de la rebellion, mais pour l'autre, le diktat est si fort, que je ne peux même pas dire à mon cousin "N'aies pas peur, cousin, je ne t'oublierai pas"), d'autres encore se trouvent privés de tout au décès de leur conjoint, même du dernier hommage (je le sais. Une caresse dérobée à la va vite en cachette. Merci à Catherine. Je déteste Poitiers et tous le cons qui s'y trouvent). La vraie vie ça fait mal, et certes tout le monde le sait. Nous avons besoin des ces films de guimauve, improbables de bons sentiments, de retrouvailles et de pardon. Mais sommes-nous vraiment obligés de ne voir que ceux-là ? Et toujours aux mêmes périodes ? Pourquoi ne peut-on pas aussi montrer, une fois de temps en temps, des films plus durs sur les "sorties de placard" (je n'aime pas ce terme, mais quoi trouver d'autre ; "L'annonce", un peu trop publicitaire non ? "La révélation", bonjour Jeanne, "L'aveu"mmmm par où le goulag ?) moins réussies. Parce que ça peut aussi être dur, ça peut être violent et il faut le savoir. Alors, certes, nous homos le savons. C'est bien. Mais il faut que les autres, les familles, les amis, les patrons, les collègues de travail avec qui on partage une bière ou un café le sachent eux aussi que ça demande une bonne dose de courage, que c'est là qu'on attend leur amour et leur amitié. Les films qui ont traité des morts du sida ont fait beaucoup plus pour l'acceptation des homos, que des années de combat. Et vous me direz que voilà une justification suffisante pour le maintien des défilés des fiertés. Et c'est cela même que je dis depuis le début.
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